À quatre pattes dans le jardin, de la terre jusqu’aux poignets
J’étais comme ça la première fois qu’il m’a aperçu
C’était peut-être ma raie de fesses qui reflétait le soleil ou bien ma position suggestive
Qui l’a fait se retourner au loin, à me zieuter au travers les plants de tomates
Je l’avoue je l’avais aussi remarqué, ses mains rugueuses, ses ongles terreux, son regard libre
Son corps sculpté du travail au champ, à transporter des bottes de paille et des caisses de légumes frais récoltés
Je ne pouvais m’empêcher de regarder ses bras costauds, sous sa chemise tachée
Il se déplaçait avec tellement d’aisance, heureux dans son élément
Le sourire blanc accrocheur dans son visage sali de terre, les rayons du soleil
Je le regardais subtilement, accroupie à désherber ma parcelle de jardin
Et l’imaginais me prendre comme ça, cachés dans quelques herbes hautes
La brise estivale, deux êtres dénudés dans la nature
Ses mains empoigneraient mes fesses fortement, il en palperait la consistance
Satisfait de leur fermeté, envie d’en croquer un morceau
J'empoignerais son érection, dure et veineuse, sa bite insistante
Et je l'approcherais de mes lèvres tranquillement, pour pouvoir profiter aussi de son odeur animale
De sa sueur, des sucs de son membre viril
Étendue sur le dos dans la terre, je lui prendrais la graine pour qu’il vienne me baiser la bouche
À sa convenance
Qu’il profite de moi comme il le veut
Qu’il me prenne pour sa salope et qu’il prenne son pied
Mes mains enfouies dans le sol argileux, j’en redemanderais
Son regard serait vif et vicieux, sa bouche avide
Son activité se ferait plus pressante, sa queue encore plus dure contre mes joues
Et je le verrais relâcher sa satisfaction, plusieurs jets chauds contre mon palais
Que j’avalerais avec contentement
Se queue ramollie se retirerait, assouvie
Il me donnerait un baiser sur le front
Pour me laisser seule le cul dans le potager
Trempée d’excitation et euphorique
Et il me dirait Ce n’est que partie remise
Fucker.