Tellement

Viens me voir, tout de suite.

Je te vois arriver par la fenêtre. J’en peux plus de t’attendre. Je sais que c’est mal ce qu’on va faire... Mais j’en ai tellement envie. J’crois même pas que je vais le regretter...

Je t’ouvre la porte. Je crois que j’ai mouillé direct. J’veux tellement ta bouche sur mon corps, tes mains sur moi, ta bite en moi.

Tu t’élances vers ma poitrine. J’enlève mon chandail et tu découvres mes seins, généreux et libres. Tu les lèches l’un après l’autre. Je ferme les yeux. C’est tellement doux. Je respire rapidement, j’voulais tellement ça. Je les aime tes grosses mains quand elles m’empoignent de la sorte.

Ta bouche remonte vers mon visage et tu embrasses mon cou, passionnément. Tu me mords presque. J’en ai la fièvre. Nos lèvres se rencontrent et nos langues s’emmêlent.

C’est frisquet dans l’entrée comme ça, on a même pas attendu d’aller ailleurs. Pas capable d’attendre.

Ma main se faufile jusqu’à ton entre-jambe. Osti que je l’aime ta queue bandée dans tes jeans. Je la vois dans ma tête, je la touche avec empressement. J’adore voir le tissus étiré, voir qu’il lui manque de la place. Je sais que tout ce que tu veux c’est que je l’extirpe de là, elle étouffe.

Empressement. 

J’halète d’excitation. Tu glisses ta main dans mes leggings et tu prends pas de détour, tu enfonces directement deux doigts dans ma chatte. Elle était prête pour toi, chaude et invitante. J’te trouve un peu brusque mais putain que ça m’excite.

Tes doigts bougent en moi, tu sais comment me faire du bien. J’ai les jambes fermement plantées au sol, légèrement écartées, les mains appuyés sur la fenêtre de la porte d’en avant. Faudrait pas que le facteur passe.

T’es maintenant agenouillé devant moi, toujours tes doigts qui s’agitent dans mon sexe. Tu les fais ressortir pour les rentrer encore plus profondément. Fuck j’ai tellement envie que tu me baises.

Je n’ai presque plus de vêtements sur moi, j’ai peur que les voisins nous voient comme ça mais j’ai pas trop le temps d’y penser car tu poses ta bouche sur ma chatte et je sursaute de plaisir. C’est sensible. C’est bon. Osti que c’est excitant.

Mes mains parcourent tes cheveux, je les trouve doux et j’te dis que c’est bon. Ah oui.

Mes yeux sont entrouverts, je m’amuse avec mon mamelon droit en le pinçant entre mes doigts. J’aime bien le faire durcir pendant qu’on me bouffe la chatte de la sorte. 

J’ai vraiment le goût de te sucer la queue alors je me laisse tomber au sol moi aussi sur les genoux et je te pousse pour que tu t’étendes par terre sur le tapis de l’entrée. On devrait tellement pas faire ça là. En fait, on devrait tellement pas faire ça. Point.

Je baisse tes jeans et agrippe ta belle grosse queue raide. Si tu savais combien j’en ai rêvé. Je me l’enfile tout d’un coup dans le fond de la gorge. Osti qu’elle est bonne ta queue. Tu gémis. Tu soupires.

Je te suce la graine à fond. Bien au fond. Je sais que tu aimes ça. Mes seins bougent au gré de mes mouvements, caressant tes cuisses. J’ai l’impression que mon sexe dégoûte, je suis tellement excitée. J’ai chaud.

Tu me dis arrête, j’ai tellement envie de te baiser. On termine d’enlever nos vêtements rapidement et je me retrouve agenouillée sur le fauteuil en velour vert dans le coin du salon. Je te présente mon derrière, tu sais quoi en faire.

J’ai déjà mon index droit sur mon clito. J’ai pas le choix de faire ça sinon c’est trop intense quand tu t’enfiles dans ma chatte. Ça me calme, ça réparti mieux mon plaisir.

Je sens tes mains se poser sur mes hanches et tu regardes le menu quelques secondes. Tu prends ta queue et l’aligne enfin en moi, lentement, mais fermement. Fuck tu me remplis tellement. Cette sensation m’avait manquée. Chaque millimètre que tu introduis en moi me font tellement de bien. J’en ai des frissons dans la nuque. 

Tu prends un bon rythme, j’aime ça quand tu y vas comme ça. J’ai même envie que tu me bardasses un peu. Ça te dit? Ton rythme s’est accéléré, on respire fort les deux, fuck c’est bon. J’entends ton corps qui cogne sur mes cuisses. Tu me donnes une bonne claque sur la fesse droite. Ça y est, t’es où je voulais que tu sois. Tu te laisses aller à me baiser sauvagement. Je me laisse aller aussi, je me branle le clito en même temps, j’veux tellement jouir avec ta bonne grosse queue en moi. 

Je gémis, je cris de plaisir. Tu me dis que j’suis fucking bonne, que t’en pouvais pu d’attendre comme ça. Tu continues à me baiser longuement. J’arrête de me toucher parce que je ne veux pas jouir tout de suite. Mais à un moment, j’en peux plus, je recommence à astiquer mon clito rapidement et je jouis bruyamment, pendant que tu continues à me perforer. 

Quelques secondes après c’est à ton tour d’y arriver, tes râles sont plus graves. J’ai détourné la tête et j’essaie de te regarder. Tu t’extirpes de moi et tu éjacules puissamment dans mon dos. J’adore te sentir chaud comme ça sur ma peau. Tout juste terminé que j’ai déjà envie de recommencer. J’te laisserai pas partir comme ça...

Dit oui.