Un gentil lecteur a été inspiré par mon billet « Un oubli ».. J'ai adoré son histoire alors je la partage avec vous ;)
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Après plusieurs minutes en vélo, je prends une pause bien méritée au parc La Fontaine en contemplant les gens passer au loin. Assis contre un arbre, je remarque soudain une petite culotte abandonnée près de moi. C'est le matin mais il fait déjà chaud, et partout les filles sont décolletées, sexy. Je me sens particulièrement chaud cette journée-là. Je regarde autour de moi pour voir si des gens m'observent car l'envie de jeter un oeil est plus fort que moi. Puis je la prends d'une main. Elle est superbe, un léger string, dentelé, noir. À l'intérieur, près du gousset, je remarque un peu de ce qui est sans doute de la mouille séchée. Je glisse le string vers mon visage, pour le respirer à fond.
Soudain, ayant perdu un peu la notion du temps, quelqu'un s'approche de moi. Je n'avais pas remarqué l'arrivée de cette personne. Cette fille avec son vélo, belle, m'a surpris en flagrant délit. Malaise total... Cette fille, c'est toi.
"Ça te dérange si je reprends mon string?"
- Euh... Désolé, je croyais que...
"Non, c'est correct. Je comprends"
Tu remarques une grosse bosse dans mes shorts mais tu n'en fais pas de cas.
"Je suis passée ici il y a 10 minutes en allant travailler en vélo, et j'ai oublié de les reprendre en me changeant"
- Oui, il fait chaud en effet
C'est là que, contre toute attente, tu ouvres une porte inattendue.
"Je dois aller me changer avant d'aller au boulot. Tu restes ici ou tu m'accompagnes?"
Je n'en croyais pas mes oreilles mais l'envie était trop forte. Arrivés au chalet, nous entrons discrètement dans une cabine, côté filles. L'envie de nous embrasser n'a pas traîné, et les mains baladeuses étaient au rendez-vous. Je m'attardais naturellement vers ton petit minou tout chaud et déjà humide quand soudain tu as ouvert la bouche pour me chuchoter à l'oreille...
"Tu connais déjà l'odeur de ma mouille mon cochon, donc tu devras te contenter de mon cul..."
L'espace d'un instant, je me suis demandé si j'avais bien compris, mais plus rien me semblait bizarre avec cette rencontre surréaliste. Je te retourne lentement mais fermement contre le mur et je me mets à lécher ton cul avec un appétit démesuré. Sur ta peau ruisselante de sueur, je détecte un peu de chair de poule. Je continue à te lécher avec envie, puis tu prends tes fesses et tu les écartes.
"Défonce-moi mon salaud, tu as 3 minutes."
Ma queue était bien dure depuis longtemps. J'ai enfoncé deux doigts dans ta chatte pour bien les imbiber de ta mouille, puis je les ai glissé autour de ton petit trou pour ensuite les enfoncer en toi. Ma queue a suivi quelques instants plus tard, après un ou deux essais. Je sentais super bien ton cul brûlant. Je te tenais fermement par le cou, l'autre main sous ton t-shirt, la main sur un sein. Les petites pénétrations polies sont devenues de vraies grosses défonces.
- Je vais défoncer ton petit cul puisque tu ne veux pas de moi ailleurs...
Le temps de t'entendre gémir faiblement, sachant que tu te retenais vu l'endroit, j'explosais déjà en toi, bien profondément. Rapidement, je t'ai retournée pour te donner le reste bien en bouche.
"Moins de 3 minutes, bravo mon grand!"
Je ne savais pas si c'était sarcastique ou non, mais je percevais une légère satisfaction à ton regard. Peu importe, tu t'es r'habillée rapidement, tu as repris ton sac en sortant un linge humide que tu as passé sur ton visage, puis tu es disparue juste après avoir embrassé deux de tes doigts, lesquels tu as déposé sur ma bouche.
Moi j'étais complètement vidé, au sens propre comme figuré, et je suis resté immobile un bon 5 minutes avant de sortir du chalet. À ma sortie, aucune trace de toi.
C'était un début de journée assez particulier mettons.
Par Grégoire Moulin
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Merci Grégoire! xxx
chanceux Grégoire !
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