27 sept. 2020

Faut y remédier

Depuis ce temps qu'on se parle, oh fuck, j'ai trop envie de toi. 

T'es enfin revenu me voir. La première fois, c'était pour échanger sur notre passion, mais avec le temps, les sujets ont changés et je me suis rendue compte que j'étais pas mal plus intéressée que par nos échanges verbaux.

Un après-midi chaud d'automne, t'es arrivé vers 15h, directement dans ma cour. 

Osti que j'aime ta gueule.

Je t'offre un verre, pourquoi pas un rhum&coke bien fort. J'imagine le pétillant de la liqueur qui pique un peu tes lèvres et ta langue. 

Ça te rafraîchie ou bien ça te réchauffe?

Je fais une fixation sur tes lèvres et je sens toute ma sexualité qui émane de mes pores de peau. C'est chaud dans ma poitrine, j'ai la chatte qui élance. Mais non, calme-toi que je me dis, je peux pas faire ça.

Tout ce que j'ai envie c'est de passer derrière toi et de t’agripper le paquet à travers tes pantalons.

On passe un bon moment à jaser de tout et de rien. Je décide de te faire visiter mon petit cabanon. Oui, j'y ai aménagé quelque chose de mignon et j'ai peut-être quelque chose derrière la tête...

Combien ça fait de temps qu'une femme t'as pas prise en bouche? Qu'elle a pris le temps de défaire tes pantalons et d'y extirper ta queue pour ensuite la goûter du bout de la langue, chaque parcelle, chaque millimètre. Je sais que ça fait un bail, tu me l'as dit. Qu'il fallait que ça se passe sinon ça devenait dangereux, tu allais exploser.

J'ai envie de te faire du bien, de me faire du bien, de te faire sentir mâle, de te montrer de quoi je suis capable, de te faire jouir, de te rendre plus heureux.

Une fois à l'intérieur, je t'invite à t’asseoir. J'ai un petit banc pour moi, juste devant toi, question d'être face à face. Mon regard est aguicheur, est-ce que j'ai besoin de te dire ce que je veux?

Je suis insolente, dans ma tête, je me dis que je le sais ce que tu veux. Quand je feel horny, j'ai l'impression que tous les gars me veulent et c'est bien comme ça. 

Quelques secondes où on a rien à se dire, regards insistants, je m'agenouille devant toi. Tu es un peu mal à l'aise, t'as l'air de ne pas comprendre ce que je fais. 

Bien sûr que tu le sais.

Je m'approche et passe ma main vers ton entrejambe pour serrer fortement ton engin que je devine tendu. 

Fuck sors-la que je m'en occupe.

Je sors ta queue et la regarde avec passion. OUI. Je l'engouffre dans ma bouche chaude mais étonnamment fraîche. Je fais glisser ma langue sur ton membre et je t'entends gémir. Je te regarde pour voir si tu apprécies, bien sûr que oui.

Comme c'est bon sucer une queue, surtout quand on en a envie. Je me sens gourmande, je me sens chienne, je me sens vulnérable. Ton bassin a commencé à bouger avec mes mouvements. J'utilise ma main pour suivre le rythme sur ta queue bien dure. Lèche, suce, branle.

Je sens ton gland dans ma bouche, il est extrêmement dur. J'ai l'impression que j'y sens ton cœur battre. J'accélère mon manège pour te faire oublier tous tes problèmes. Il n'y a que ça qui existe pour l'instant. Il fait chaud dans ce cabanon, on a le soleil qui plombe et les oiseaux qui chantent autour. 

Je sais très bien que je ne devrais pas faire ça, mon chum n'est pas à la maison, je ne sais pas quand il va rentrer. Mais j'ai tellement envie de te faire jouir avec ma bouche, tellement envie de te faire profiter de ça, car je sais que tu en as besoin. 

Tu jouis d'une éjaculation foudroyante. Tu ne peux t'empêcher de faire un son guttural au même moment. Ton sperme se retrouve dans ma bouche, il y en a trop, je crache par terre. 

Fuck Alex, pourquoi tu me fait ça?

Pour ton plaisir. Et le mien.

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