26 août 2009

Une histoire comme ça.

J'étais chez moi en ce chaud et humide après-midi de juillet. Étendue tranquillement sur mon lit, entre une brassée de lavage et un peu de ménage, la peau transpirante, collée au draps de mes couvertures, je n'aurais pas cru que la fin de journée s'annonçait si bien.

Tout a commencé avec la sonnerie de mon téléphone. Un mélange d'excitation, de mystère et de désir s'emparent de moi et ce, même avant d'avoir décroché. C'est ta voix à l'autre bout mais tu ne t'adresses pas à moi comme à l'habitude... Tu sembles plutôt décidé et tu me dis que tu seras là dans une heure, sans même me demander ce que je fais! Tu me dis de m'habiller sexy et d'attendre patiemment. J'ai très envie de te voir alors je ne pose pas de questions. Tout juste le temps de prendre une bonne douche et de m'arranger à mon goût. J'ai très hâte alors je me prépare rapidement. Au bout de 40 minutes, je suis déjà prête et je m'étends devant la télé. L'impatience me gruge et je ne peux m'empêcher de glisser ma main sous ma robe.

Avec toutes les idées que j'ai en tête, je suis déjà excitée et ça se ressens physiquement. Mon majeur gagne avec empressement ma fente déjà très humide. J'aime me sentir ainsi, à fleur de peau, prête à tout, prête à me faire jouir du bout du doigt. Ça m'étonne à chaque fois de pouvoir être ainsi excitée, par ce doux frottement sur mon clitoris. J'aime alors glisser tranquillement mon doigt du bas de ma fente humide à ce bout de peau dans un va-et-vient nonchalant, tranquille. J'aime quand ça glisse bien et que je peux sentir les mouvements de ton doigt... Oh! C'est vrai, c'est encore mon doigt... Je m'emporte... Je passe le temps ainsi jusqu'à ce que tu sonnes à ma porte. Un dernier check-up au mirroir et oui, oui, je suis parfaite comme ça.

Je t'ouvre la porte et t'invite gentillement à entrer. Tu refermes la porte et me saisies par la taille pour me rapprocher vers toi et m'embrasse avec intensité, ta langue jouant et s'entourant autour de la mienne. Mmmm.. Quel accueil. Après quelques minutes, j'en perdu la notion du temps; tu t'arrête tout à coup et recules. Tu me dévisages quelques secondes et me regardes de la tête aux pieds. «Pas mal». Tu me demandes de faire un tour sur moi même et dès que je te tourne le dos, tu m'empoignes fermement la fesse droite. Ton autre main appuie alors fortement sur mon épaule et me fait placer à genoux par terre. Tu viens alors te placer directement devant moi. Je comprends vite ce dont tu as envie. Mes mains trouvent le chemin de ta fermeture éclair et en font resortir ton sexe, bien dressé, ton gland rosé prêt à se faire lécher dignement. Je me laisse emporter et glisse tranquillement mes lèvres sur ton sexe délicieux, en prenant bien soin de laisser trainer ma langue tout au long. Te sentant déjà dur, j'attrapes ton super cul à deux mains pour pouvoir mieux contrôler tes va-et-viens. Nous continuons ce petit manège plusieurs minutes. J'aime bien te regarder dans les yeux en même temps et te voir prendre ton pied. Ton souffle court et tes gémissements ne font que me motiver encore plus. Le goût de ton sexe mélangé à ma salive, la chaleur de ta peau dans ma bouche, toutes les veines de ton sexe emplissant ma bouche me rendent folle.

Mes genoux commencent à se fatiguer et j'arrête un moment. Tu me guides vers le salon et me demande de monter à quatre pattes sur la table basse. Tu glisses alors ta main sous ma robe et t'emparres de mon string et le lance sans gêne par terre... Je pousse en même temps un petit cris démontrant mon excitation. À ce moment, tu enfonces facilement ton majeur dans ma chatte. Putain, ça me fait totalement frissonner. Tu flattes mon clitoris tel un joyau qui n'a envie que d'être pour toi. Je suis tellement brulante que je dégoute presque sur la table. Ton autre main presse sur mon dos pour me montrer que je ne dois pas bouger de là et que c'est toi qui décide. Sans hésiter. tu approches ta bouche, tes lèvres, ta langue épaisse sur mon sexe. J'en frémis d'ivresse. Ta langue contourne tous les recoins de mon sexe pour s'attarder frénétiquement à mon bouton de plaisir. Je gémis, je soupire. j'agrippe fermement la table, les fesses bien dressées en lair, les jambes bien écartées. Tes lèvres sont brillantes, humectées de mon miel et tu reviens devant moi pour m'embrasser tendrement. Ton sexe ne peux maintenant plus se cacher et tu l'offre à nouveau à ma bouche gourmande. Je suis ton esclave et tout t'es permis. Tu vantes les mérites de ma fellation. Tu me dis que je suis une bonne fille et que si je continue à être aussi bonne, j'en aurai encore plus... À suivre.

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