24 août 2021

Je ne sais pas si...

Je ne sais pas si c’est le magasinage qu’on a fait au sex-shop le matin.

Ou bien le fait que tu m’aies vu essayer des vêtements sexy qui ne m’allaient pas.

Caresser tous les tissus qu’on voyait dans la vitrine et m’imaginer en salope sexy.

Des kits transparents, mais surtout les straps en cuir. Ça j’ai adoré.

C’est bien beau tous ces atours mais ça fait pas à tout le monde que j’me suis dis.

Ma poitrine généreuse n’aidant pas, il manque toujours du tissus pour les couvrir, même juste un peu.

Je suis repartie de là avec une culotte transparente. Comique quand on y pense, car dans la vie de tous les jours je porte des strings, et là j’ai acheté une culotte pour être sexy. Ça t’as plu.

Quelle chaleur il faisait hier, presque 40 Celcius ressenti. La baignade était rafraichissante et la bière aussi. J’ai dû me doucher pour enlever de ma peau le chlore et la sueur. Sur le lit, devant la clim, j’ai essayé la culotte pour te la montrer de nouveau. Tu t’es pas fait prié pour me l’enlever.

Tu m’embrasses tellement bien. Ta langue qui pénètre dans ma bouche, qui suce la mienne, tes lèvres pulpeuses que je connais tant. Le goût de toi.

Moi qui pensait que je n'en avais pas envie, tu m’as fait changer d’avis assez rapidement. Tu as caressé mon sexe de tes doigts mouillés de salive. Ma chatte t’as répondu en s’inondant elle aussi, pour que ça glisse encore mieux.

Cette sensation si douce que tu me procures du bout du doigt, c’est hallucinant. Tellement intense, tellement jouissif.

Je me suis tournée sur le ventre et tu m’as demandé de cambrer le dos. J’avais les seins écrasés sur le lit, les bras tendus vers l’avant et le cul dans les airs. T’as plongé directement dans mon sexe. Tu devais en avoir plein la gueule de ma mouille, ton nez naviguant dans cette ondée de cyprine. 

Tu me léchais à grand coup de langue, t’attardant de temps à autre sur mon clitoris que tu suçais. Mon cul n’a pas été mis à part lui non plus car tu l’as pénétré lui aussi de ton appendice. Profondément.

Tu as appuyé sur mon dos pour que je continue à m’offrir complètement à toi. Rester cambrer.

Je ne sais pas combien de temps tu m’as mangé mais c’était tellement bon, mon visage écrasé dans l’oreiller, à soupirer, à râler, à en redemander.

Tu t’es ensuite couché sur le dos près de moi et j’ai enfin pu admirer ta verge dure. Elle était belle, tendue et rouge dans ton nouveau cockring que tu venais d’acheter. Un anneau te serrait les couilles et l’autre ta bite écarlate. L’effleurement de mes doigts t’as fait gémir de plaisir, tu étais à fleur de peau.

Je t’ai sucé avec délectation comme je sais si bien le faire. Passionnément. Tu m’avais si bien excitée que ça se ressentait dans ma pipe. Mon corps vibrait de tes attouchements. J’avais encore envie de ça alors je suis aller m’assoir sur ton visage pour que tu goûtes de nouveau à mon sexe. 

Je faisais aller mon bassin de haut en bas sur tes lèvres et tu te lamentais de bonheur. Tu aimes te faire utiliser comme ça. Tu pinçais mes mamelons en même temps, c’était fucking bon toutes ces sensations. 

Je t’ai demandé de me faire jouir avec tes doigts. Après ça, j’avais envie que tu me baises vraiment rapidement et que tu me viennes dessus. J’aime ça quand t’en peux pu.

J’étais agenouillée sur le bord du lit, tu étais debout et tes doigts s’activait en moi, sur mon clito gonflé, à l’orée de mon anus. Tu m’as dis que tu allais faire glisser ton gland sur mon petit trou. En fait, seulement rentrer le bout car j’avais demandé tes doigts. 

J’me suis fait avoir. Tu n’es pas resté longtemps dans cette position. Ou bien c’est moi qui me suis poussé vers toi pour que tu entres complètement? C’est pas clair. Mon cul a encore passé au cash. Quelle sensation!

Tu m’as baisé le cul pendant que je faisais glisser mon index droit sur ma chatte imbibée. Je t’ai demandé de me dire des cochonneries, tu m’as traité de salope, tu m’as dit que je devais faire tout ce que tu voulais, qu’un jour tu amènerais un mec sans m’avertir et que je devrais obéir à ce que tu me dirais de faire, tu m’as dit de crier plus fort, plus fort, encore plus fort tout en baisant mon cul de p’tite chienne. Tu m’as traité de ça aussi et j’en ai redemandé.

J’ai joui puissamment en gueulant sans retenu. Tu t’es retiré de moi et t’as éjaculé sur mon derrière. C'était tellement intense que j’en ai reçu dans le dos et même dans mon visage qui était posé sur le côté. C’est rare que ça fait ça. J’ai adoré que tu me badigeonnes de la sorte. 

J’étais épuisée. Je suis allée dans la douche de nouveau et suis revenue ensuite dans le lit pour une petite sieste. J’adore les dimanches après-midi.

2 commentaires:

  1. Moi aussi, j'adorerais de tels dimanche après-midi.Je t'imagine à la merci de ce grand baiseur de TheOne, épanouie, heureuse d'être comblée de la sorte dans tous les orifices. Quel pied je prends à te lire. Sans te connaître, je sais que tu es belle et encore plus particulièrement, lorsque tu dois être en train de jouir.
    Tu sais que je t'aime.
    Bisous tout doux partout.

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