Je cherche

Je cherche l’inspiration. Elle était revenue au grand galop pendant tout le mois d’octobre, j’écrivais des textes, plusieurs par jours, j’étais inspirée. Ceux que vous lisez chaque jour étaient déjà écrits depuis un bout. Mais ça sent la fin. Est-ce que l’inspiration va partir aussi vite qu’elle est arrivée? On verra bien.

Y’a pas de mal dans le fond. Quand j’ai une idée, je l’écris, quand j’en ai pas, je ne le fais pas.

Et pourtant, il se passe bien des choses quand même. Oui, la petite routine de couple si on veut, mais ma libido elle n’a pas baissée, ma petite chatte ronronne plus que jamais et TheOne sait bien s’en occuper.

On dirait par contre que dans ma tête ça spin moins. Je me fais moins d’histoires, je me raconte moins de scénarios. Je vis ma petite vie normale confinée en couple. Je travaille, m’entraîne, prépare le souper tous les soirs, je bois du vin rouge du vendredi au dimanche et des fois j’ouvre la bouche grande pour accueillir la queue raide de mon mec. Ou comme en fin de semaine, on en a bien profité. 

Les vendredis et les samedis se ressemblent tous maintenant, c’est pantalons de jogging, Netflix et vin rouge. Et bon le vin rouge, soit ça m’endort, soit ça me rend encore plus vilaine. 

Je me suis ramassée à califourchon par-dessus mon mec dans le salon. J’avais vraiment envie qu’on s’embrasse. Qu’on frenche solide. On s’embrasse encore souvent, avec la langue et tout, mais j’avais envie d’être comme une ado qui a que ça. Qui connaît rien d’autre et qui jamais oserait mettre la main dans les boxers d’un gars. Qui enfonce sa langue dans la bouche de l’autre parce que c’est ce qui lui donne le plus de sensation. C’est ce qui se rapproche le plus de ce qu’elle a vraiment envie de faire, sans le savoir.

Oui un baiser bien glissant, les lèvres humides à fond, le souffle court, les mains dans le cou dans le dos sur mes seins. Des langues qui s’entortillent avidement et qui ne se posent pas de questions. Des langues exploratrices de saveur. Des bouches affamées de l’autre. Des langues qui se font sucer. Des papilles dans tout leur état.

Alors oui c’est ce qu’on a fait. Bon, pas aussi longtemps que j’aurais vraiment voulu. Mais bon, c’est difficile quand t’as la queue de ton mec hyper raide sous ton corps et qu’il dézippe sa braguette et qu’il te pousse la tête par là. Le pire c’est que j’en avais bien envie. J’adore sucer.

J’aime vraiment sucer une bite. J’aime avoir un membre tendu en bouche. Chaque mouvement que je fais, effleurement, liché, souffle, tout est ressenti. Je me sens puissante. C’est moi qui ai le pouvoir même si je suis celle qui a l’air bien soumise à se faire baiser la bouche et à presque s’étouffer. C’est moi qui décide quand je commence, quand j’arrête, quand je lèche de bas en haut, quand je suce le gland, quand je fais glisser ma langue le long d’une veine. Que d’émotions ça procure. Des sensations. Je ressens les mêmes, mais dans ma tête.

Il n’y a rien de mieux pour m’exciter un max. Ensuite de ça, même pas besoin de salive pour insérer un doigt en moi, je suis déjà prête et juteuse à souhait. Des fois j’en ai mal tellement ça me turn on. C’est comme si mon vagin se serrait de lui-même. Fuck me qu’il dit.

Et TheOne sait me faire perdre la tête. Quand je l’ai pris en bouche plusieurs minutes, il glisse un doigt en moi et joue avec mon clito de façon experte. J’aime quand il y va tranquillement au début pour accélérer progressivement ensuite. J’adore jouir de cette façon-là. Je trouve que c’est encore plus intense. Je crie comme une folle à chaque fois et je termine en riant tellement je me suis amusée.

Mais le best... C’est quand il continue d’astiquer mon clitoris avec précision et qu’il s’engouffre dans ma bouche gourmande, car j’en veux encore. Et la meilleure façon selon moi d’atteindre l’orgasme c’est quand il me doigte et que je le suce en même temps. Et si il peut pincer un mamelon aussi alors pourquoi pas.

J’aime quand il me baise la bouche, j’en ai presque du mal à respirer. Il est à genoux près de moi, je suis étendue sur le dos les jambes entrouvertes, sa main y est. Je suis offerte complètement à lui mais c’est moi qui gère car j’ai sa queue dans la bouche. Il glisse de plus en plus vite sur mon sexe brûlant et je sens que ça s’en vient. C’est quand je me sens perdue comme ça que je perds la tête. Je me dis même que je suis sa petite salope et ça m’excite. Lui aussi me le dit. Et au bout d’un moment, c’est comme un escalier qu’on gravit, et à la fin on monte les marches quatre par quatre. Et arrivé au sommet, c’est l’extase. Le feu d’artifice. Les contractions dans ma petite chatte, les yeux fermés, le corps qui tremble, le relâchement et la joie. Putain que c’est bon. 

Ok je pense que je suis assez inspirée, je vais appeler mon mec pour qu’il vienne me rejoindre dans le lit finalement...