Baisons pour se sentir mieux
Se sentir vivant
Oublier cette putain de pandémie
Louons une chambre d’hotel
Et commandons un repas 3 services livré à notre porte
Une ou deux bouteilles de vin nature
Qui glisserons aisément dans nos gorges
Comme du bon jus
Allons au sex-shop
Acheter des jouets ridicules
Qu’on essayera l’un après l’autre
Pour ensuite les oublier sous le lit
Car c’est l’fun faire de nouvelles expériences
Même si non concluantes
Car à quoi bon avoir une boîte à jouets remplis
Quand tout de que je veux c’est ta bouche, tes doigts, ta bite
Qui me remplissent les orifices
Je te sucerais sans cesse pour oublier les soirées
Une après l’autre qui se ressemblent toutes
Et encore pire les weekends
Où on ne voit pas personne d’autre
Rien que nous
Personne pour batifoler
Réaliser nos fantasmes
D’une autre personne dans notre lit
Mais il y a ça de bon
Car je t’ai et tu m’as
Nous sommes ensemble et on peut s’embrasser
Je peux te sucer
Tu peux me lécher
On peut baiser, on peut fourrer, on peut délirer
Et aussi se saouler
Même si le temps semble long
Et qu’à fucking 16h30 il fait noir comme à 20h
Que tous les plans sont à l’eau
Qu’arrivera-t-il du réveillon?
J’pourrais m’acheter un kit rouge en dentelle
Et m’habiller en garce de Noël
Pour te donner tes cadeaux
À quatre pattes en dessous du sapin
J’metterais de la crème fouettée sur ta graine
Et je la lècherais complètement
Accompagné d’un grand verre de lait de poule
On regarderait ensemble dehors
Pour apercevoir les rennes passer dans le ciel
Et pour passer le temps
Orné de grelots sur tes couilles
Un grillottis en harmonie
Tu me baiserais solidement
Et je crierais la joue collée dans la fenêtre
Plaquant de la buée sur la vitre
Et des traces de doigts collant de mouille et de crème 35%
Comme j’ai de la chance d’avoir
En ma compagnie un homme dont la bite se dresse
Quand bon lui semble quand j’en ai envie
Si ferme dans le creux de ma main
Je sens les veines se dilater
Et ça me donne le goût de lécher
Jusqu’à ce que tu n’en peuve plus
Et que tu me prennes de nouveau
Comme d’habitude
À quatre pattes sur le sofa
Odeur de sapin et de chantilly et de vin
Solidement tu me ferais gémir
Claquant mes fesses l’une après l’autre
Pour qu’ensemble on puisse jouir
Car il n’y a que ça de bon ces temps-ci
Pendant ce putain de confinement
Ensemble on est si bien
Une chance que je t’ai que tu m’as
(enfin mes soucis informatiques sont réglés)
RépondreSupprimer"Une chance que je t’ai..." ça c'est sûr ! Que tes mots excitent mon imagination. C'est fou ! Et encore, je ne te connais pas. Si j'avais une amie qui écrivait ce genre de prose, je serai en érection à chaque fois que je la rencontrerais. Cette idée m'effleure... te rencontrer un jour... si je vais au Québec...un rêve. Prends soin de toi, mon écrivaine adorée. Bisous tout doux partout. Je t'aime.
J'aimerais bien faire bander tous ceux que je connais, mais si ils savaient ce que j’écris, ce serait plutôt étrange... Surtout pour les gens du boulot! :) xxx
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