Ce qui se passe au chalet, la suite

Peu après, on a décidé d’aller dans la chambre du haut, c’était plus frais et surtout plus confortable.


J’ai sauté sur le lit et me suis mise à quatre pattes, je connaissais déjà la suite. J’avais l’anus déjà bien préparé et humide, tu t'en étais bien assuré. T’as pris la bouteille de lubrifiant à l’eau et m’a badigeonné comme il faut pour ensuite t’y appuyer avec ton gland.


Ça glissé sans forcer et tu t’es laissé aspiré à l’intérieur de moi.

Je t’ai demandé d’y aller tranquillement au début, faut pas faire du mal à mon petit cul quand même, il faut l’apprivoiser. Tu sais bien que cette étape cruciale ne dure que quelques secondes tout au plus. 

Après être entré en moi trois ou quatre fois de cette façon si indécente, tu as pu y aller avec plus d’ardeur car c’est ce que je demandais, c’est ce que mon corps te démontrait, le derrière bien poussé en arrière, les fesses contractées, la tête dans l’oreiller et mes gémissements rauques pour appuyer le tout. 


J’agrippais le matelas avec une main, question de bien répondre à tes attaques de hanches, pour me ramener vers toi et faire buter nos corps ensemble. Mon index droit frottait comme à son habitude mon clitoris bien enrobé du jus de ma chatte, ça glissait comme ça pas d'allure. Putain que c’était bon. 


On a pas joué à ça très longtemps, c’était fucking excitant. Et je disais fuck, oh fuck, oui, fuck. J’ai jouis comme une folle et toi tu me disais fuck je vais venir dans ton cul. Et tu sais quoi? Ça m’excite un max de savoir que tu déverses ta semence en moi, dans cet endroit si interdit où tu me remplis d’un peu de toi.


Cette journée-là a été folle, on a baisé comme dans nos débuts, plusieurs fois dans la journée et tu m’as sodomisé à toutes les fois.


Mon cul est un putain de roi.