Ce qui se passe au chalet

On est sorti de la ville pour prendre du temps pour nous. Un petit chalet en bois rond bien charmant dans Lanaudière.

Le plan? Se reposer, faire des feux, bien manger, boire et aussi bien baiser.

Samedi après-midi, je sors de la douche. Tu m'avais dit de bien me laver car t'avais envie de me lécher le cul, ce que je fit.

À ton tour alors d'aller à la douche. Je t'ai attendu patiemment sur le sofa à regarder le vent dans les feuilles d'automne. J'en ai profiter pour aller me changer. J'étais alors en short - il fait toujours chaud au chalet car on adore les feux de foyer - j'avais mis mon top ligné, une ligne transparente sur deux, les seins à l’air en dessous.
 

T’es sorti tout habillé de la salle de bain et t’es dirigé vers moi. Je voyais déjà la passion dans tes yeux. Tu appréciais ma nouvelle tenue. 

Tu tes baissé pour m’embrasser à pleine bouche et tu m’as empoigné le sein gauche fermement comme toi seul sait le faire. T’es allé t’asseoir sur le sofa et je t’ai chevauché. S’en ai suivi un french passionné. On s’aime tellement, ça transpirait au travers nos baisers, nos langues. 

Mes mains caressaient ta tête, j’enveloppais mes bras autour de ton cou tout en bougeant mon bassin sur ton corps. Tes mains parcouraient le mien, pinçant mes mamelons au passage. Ta bouche s’occupait à me lécher les seins l’un après l’autre, tel ton dessert préféré. J’étais ta belle, tu m’as dit que tu adorais mon corps, ma taille fine et mes courbes voluptueuses.

J’ai enlevé mes shorts et mon string pour me retrouver nue près de toi.

Tu m’a attrapé par la taille la taille et tu m’as retournée vers l’accoudoir du divan. Mes avant-bras y étaient appuyés, mes fesses étaient subitement offertes comme un buffet all-you-can-eat. Le feu crépitait dans le foyer et une douce chaleur caressait mon arrière-train.

T’as pas hésité une seconde pour fourrer ta longue langue dans mon petit trou. Tu y allais rapidement, à donner de petit coups pour ensuite l’enfoncer profondément. Tu écartais mes fesses des tes deux mains et y retournait de plus belle, toujours plus profond. J'étais exposée. C’est comme ça que j’aime, c’est comme ça que je ressens toutes les merveilleuses sensations sur mon anneau tendu. Et tu le sais.

C’est comme ça que tu aimes ça hein? Vilaine fille.

Tu m’as baisé le cul de ta langue, à plusieurs reprises tu t’y ai enfoncé le plus loin possible. Et putain que j'ai aimé ça. Ça s’annonçait bien pour la suite...



T’en pouvais plus et je le savais alors je me suis retournée vers toi et ai lancé le coussin par terre pour m’y agenouiller. T’avais la queue bien bandée, entourée de ton cock-ring shiny qui faisait ressortir tes veines à fond, osti que c’était beau.



J’ai descendu sur ton corps me laissant glisser sur ton torse velu pour aller voir de plus près et au passage, mes seins ont fait une caresse sur ton érection. Je m’y suis attardé car je voyais bien que tu y prenais plaisir. J’ai fait disparaître ton membre en entier entre mes gros seins, j’ai fait ressortir ton gland par le haut et ai tiré la langue pour le lécher. 



J'ai attrapé ta queue de ma main droite en la serrant bien dans le bas. Je parcourais les veines de ton membre une par une avec ma langue avide, trouvant le début près de tes couilles et me rendant jusqu’à la fin à ton prépuce.



J’adore jouer comme ça avec ta bite, je la trouve fascinante et douce. Et surtout dure. Je t’ai dévoré longuement. Je sais pas pourquoi mais cet après-midi, j’avais une faim de louve. C’est comme si je redécouvrais ta bite, elle était tellement fucking hard, j’avais l’impression que je ne l’avais jamais vu comme ça.

J’étais ta petite salope à toi, tu t’es assuré de me le rappeler en me regardant dans les yeux.

Tu m'as demandé qui j’étais en train de sucer. J’ai dit toi my love. Tu pensais que dans ma tête j’imaginais peut-être quelqu’un d’autre. C’est sur que ça a allumé une lumière dans ma tête, pendant quelques secondes je me suis imaginé la queue d’un autre homme.


Je lui dit tu crois que le hotguy aimerait ça? Tu m'as dit oui c’est certain. Il serait chanceux de pouvoir vivre ça.

Je m’y suis remise de plus belle. Alors pour quelques secondes, je suçais un autre gars, les yeux fermés, et j’y prenais bien plaisir à démontrer mes skills de suceuse experte.


Tu m’as enfoncé ton sexe profond dans la gueule à m'étouffer un peu, tu m’as dit qu’il fallait que je m’habitue car quand il y allait avoir un autre mec, il fallait que je sois capable de le prendre au complet.

Osti que tu m'excites.

Petit vilain, t’as adopté le dirty talk ce weekend, j’adorais ça.


Tu m’as dit que ça allait arriver, que t’avais vraiment envie de me voir avec une autre queue dans la bouche, vorace comme je suis, agenouillée et gourmande. T'avais envie de me voir me faire ramasser par un autre gars pendant que toi tu te crosserais dans le coin à profiter du show.

J'ai mouillé de plus belle.


Je t’ai dit de te lever et je me suis assise sur le canapé. Tu pouvais maintenant te faire chauffer les fesses au feu et je t’ai invité à baiser ma bouche.


T’as pas attendu et t’as attrapé ma tête pour me diriger vers ton membre fucking dur. Je pense que tu t’es jamais activé dans ma bouche comme ça. C’était rapide, je me sentais très vilaine, tu baisais ma bouche comme ma chatte et je me devais de tenir jusqu’à la fin. Je pinçais mes lèvres avec force, entourant mes dents pour ne pas te faire du mal.

Mes yeux étaient crispés et je me sentais chienne, mon cœur pulsait dans mon entre-jambe. Tu allais éjaculer très prochainement. Tu m’as dit que tu aimerais venir dans ma bouche et j’ai acquiescé. 

Ça y est!


Ta queue était tellement profonde dans ma gorge que je n’ai presque pas senti ton sperme qui jaillissais de toi, jusqu’à ce que je sente le trop plein et m’étouffe carrément, crachant tout par terre et sur moi. Tu m’as dit t’es une débutante ou quoi? Et on a rit tous les deux.


J’avais envie de jouir moi aussi, on a continué ça peu après. À suivre...